mardi 29 novembre 2022

P.2022.11.29. Chronique par Christophe Stolowicki - sur "Les nuages caressent la terre", publiée le 29 novembre 2022 sur Libr-critique" par Fabrice Thumerel.

 

Note de lecture par Christophe Stolowicki 

sur Les nuages caressent la terre

publiée le 29 novembre 2022 

sur Libr-critique par Fabrice Thumerel

 

http://t-pas-net.com/librCritN/2022/11/29/chronique-sanda-voica-les-nuages-caressent-la-terre-par-christophe-stolowicki/

 



 

[Chronique] Sanda Voïca, Les nuages caressent la terre, par CHRISTOPHE STOLOWICKI


Sanda Voïca, Les nuages caressent la terre, Les Parallèles croisées, « Les lieux dits », illustré de 12 images d’artistes, été 2022, 96 pages, 18 €.
[Créations : Véronique Sablery, Philippe Boutibonnes, Liviu Șoptelea, Danièle Massu-Marie, Sylvie Durbec, Clara Pop-Dudouit, Ghislaine Lejard, Maurice Marie, Jean-Pierre Stevens, Caroline François-Rubino, Samuel Dudouit, Sanda Voïca]

Intempestive de chagrin en tempête lové, déchaîné, heurtant à faux tous les récifs, Sanda Voïca. Égrappant ses accords en contrepoint de cette claudication hoquetante qui est le trait de génie de Thelonious Monk.

Elle a perdu sa fille Clara un 8 août 2015, des suites d’une longue maladie comme disent les journaux, nantie du néant fécond de vingt et un ans tout juste. La plupart des séquences de poèmes publiées ici sont chargées de quelques mois à un an de deuil, une seule a trois ans de recul.

Les nuages caressent la terre est un titre trompeur quant à son intention, quant à son intensité – pioché dans la séquence la plus à vif du deuil tout récent. À rapprocher peut-être d’une vue 

 

d’avion Paris-Bucarest qui rétrécit les distances, fait pont de couleurs et de tendresse. « Sur une motte anodine / oblongue / des taches irrégulières se promènent : / des nuages caressent la terre / pâle sous le soleil. // Des nuages moutonneux / envient des mottes de terre : / ils descendent et les couvrent. / Leur blanc mousseux / et leur jaune grumeleux – / même surface mouvante. // La terre fraîche bouge : / la surface pâle se confond avec / des nuages moussants / descendus pour caresses et baisers / […] // Je transforme la fine lame d’inconnu / bleu-vert-turquoise pâle / qui veut m’aspirer / en longs contours sinueux – / larges détours / d’un escargot géant […] // Arrêt sur ma nuit : / noir et gris / contaminés / par la même présence / par la même absence. // Pluie intérieure : / cordes jaunes qui me traversent / de tête à pieds / lignes de soufre / droites, consistantes / de plus en plus raides […] // Les ruisseaux mous / partant de mon corps / sont de retour en moi. / Devenues cordes jaune-soufre / me brûlent et m’immolent / sans me dissoudre. » Le seul poème du recueil où tout est tenu, lissé par la chape d’un chagrin brut – se réserve de jaillir au final à sa juste mesure.

Ailleurs, « Rebuts et remâchages / De ce qui passe sans passer », domine une écriture excentrée, exorbitée, à « gueule / grande ouverte », où les mots font ménage à part, des mots français vieux de plus de deux siècles de studieuse macération roumaine, rappelant que le français est la seconde patrie des Roumains (Tzara, Cioran, pour n’évoquer qu’eux), comme la France est la seconde patrie du jazz.

Pléonastique jusqu’au totodicible : « Soyez exact, soyez soyeux ! / Soyez celui qui est ».

La parole écartelée, déchiquetée à l’encontre de son sens, en pure antiphrase : « D’échevelée à débridée il n’y a qu’un pas. / De géant écrivain en route. En rut. // Éloignez-vous, mais pas trop. / Étrangez-vous, mais pas trop. / Restez dans votre cercle, plus ou moins étroit – / Mais soyez en rut. / En-rut-ez-vous ! / En route vers un rut. / Ek-phrasisez après. / Ekphrasisez-vous énormément. » On imagine comme le chagrin qui a aboli toute sexualité peut circuler de rut en rut. Mais « On n’est pas sérieux quand on a cinquante-quatre ans », géante vue par des yeux d’enfant.

Nourris des consonances slaves que l’on devine, néologisent à tour d’abats, à bout de bras les mots au sécateur de l’âme.

Des images qui ponctuent ce long poème (exténuant l’idée de recueil), je retiens l’enchevêtrement de dorures, frappées d’un carré et de rectangles noirs, dont émerge l’extrême délicatesse et grâce d’une jambe nue que sa cheville affine et d’un bras, signé Samuel Dudouit ; de Liviu Soptelea La fenêtre dans le cœur d’un ange cyclopéen, enfantin comme peut l’être l’abstrait ; et les Deux soleils de Philippe Boutibonnes, accolés comme deux anneaux d’irradiation, Sanda et Clara.

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mardi 22 novembre 2022

P.2022.11.22. Eric Allard sur Sanda Voïca - sur "Les nuages caressent la terre" mais aussi sir "Trajectoire déroutée" et "Epopopoèmémés" - note critique publiée le 20 novembre 2022 sr "Les belles phrases"

 Quand tu as 20 exemplaires de ton livre (Les nuages caressent la terre) à envoyer pour le service de presse et quand tu "évites", comme d'habitude (!)  les (trop) grands et les (trop) petits, et quand, cinq mois après la publication, tu as encore quatre exemplaires à envoyer, et tu ne sais pas à qui ! 

Entre temps, tu as aussi envoyé (sans grande conviction)  à Eric Allard (Belgique). 

Et en recevant ton livre, il te "raconte" un peu sa vie, dont tu ignorais tout (entre autres, marié à une... roumaine, il va régulièrement en Roumanie). 

Mais, en le lui envoyant,  

tout en sachant qu'il lit beaucoup et... bien !

Et voilà - quatre mois après ton envoi - sa note de lecture  est publiée, en confirmant ta "confiance" !

 Tu es extrêmement touchée, surtout qu'il n'a pas lu/commenté seulement le livre envoyé, mais aussi tes deux autres, en les reliant d'une manière... cohérente !

Ses propos, plutôt succinctes, sont tellement justes ! 

Et donc émouvants ! 

 

https://lesbellesphrases264473161.wordpress.com/2022/11/20/les-nuages-caressent-la-terre-de-sanda-voica-les-lieux-dits-une-lecture-deric-allard/?fbclid=IwAR3U6Bp0RoHGRPP-3OanSG_xo_AhddbmEiIxLXnCgc7n-EPgjyYhr1_0mSg

 












Son texte autrement :

Les nuages caressent la terre de Sanda Voïca, paru cette année aux éditions Les Lieux-Dits, comporte cinq parties, composées chacune de textes et poèmes écrits suite au décès, en 2015, de sa fille Clara, à l’âge de 22 ans et qui, tous, sont marqués par cette perte. Chaque section est accompagnée de deux ou trois oeuvres d’artistes différents qui allient la gravité à l’apparente sobriété, et qui constituent des soutiens aux textes, dans les deux sens du terme.

Dans Trajectoire déroutée, paru aux Editions Lanskine, Sanda Voïca, proposait une septantaine de poèmes dans une forme plus classique, beaux et touchants ; elle y parlait de Clara en la nommant « la fille disparue » ou « la fille » sans s’autoriser, sauf une fois, le possessif « ma ».

À la toute fin du précédent recueil, elle écrivait « Me voilà », comme si malgré la douleur elle avait sur-vécu. Dans la première section de ce nouveau recueil, elle écrit : « Sanda Voïca / est de retour / […] Jamais je ne l’aurais cru.  ». Si dans le précédent recueil, la poète maintenait comme une distance avec le drame, ici, surtout dans la première partie intitulée Paysange, un mot valise pour dire un paysage mental investi par la figure de Clara sa fille, elle questionne dans chaque texte la présence/absence, à la façon d’un Journal d’après et d’une manière qui m’a rappelé son déjà prenant recueil Epopopèmémés (composé de 27 poèmes écrits entre le 28 novembre 2011 au 15 mars 2012) sorti chez Impeccables dans lequel livre les faits du quotidien étaient passés au crible la vigueur de l’intellect de la poétesse.

Dans Les nuages caressent la terre, Voïca inclut la disparition à ce que sont devenu ses jours, cherchant, une possibilité de vivre en accord avec ce qui est arrivé, ainsi qu’à formuler l’inexprimable. C’est cette quête d’un sens, d’une formulation, ce souci du questionnement perpétuel, d’approcher toujours plus près une manière de vivre encore en sachant qu’aucune vérité n’existe et que le travail de deuil ne cessera pas, qui fait tout le prix de ces textes. Des textes qui nous absorbent et qu’elle nous fait ressentir en tant que « lecteur-regardeur » invité au partage de ses mots.

Comme dans le si singulier Epopopoèmémés, Voïca incorpore à son propos ses chocs littéraires ou artistiques, elle y assimile aussi bien le journalier dans sa crudité qu’elle n’y fait état d’une tentation à la sainteté – déjà présente avant le drame personnel.     

Ainsi, pour ne citer qu’un exemple, « en vidant la corbeille, / en fermant le sachet-poubelle », elle fait le constat que « le plein est enfin le vide ». Á la fois dissociée par la perte et comme augmentée de l’âme de son enfant, elle se vit séparée et double. Clara est devenue une sainte, elle en apporte les preuves. Elle a aussi à son sujet ce barbarisme : Tu t’es étrangée, écrit-elle

Si elle déstructure volontiers les mots, les expressions, c’est à la façon d’une linguiste mais aussi pour s’en amuser : le langage n’est pas fait d’une pièce, il n’a pas droit à tant d’égards, semble-t-elle dire par sa démarche. La langue joue entre nos interstices existentiels, et elle le fait sur plusieurs modes : libre à nous de lui donner toutes les interprétations comme de nous en jouer à notre tour !

En parlant d’elle-même, Voïca fait sienne la formule rimbaldienne : « On n’est pas sérieux quand on à cinquante-quatre ans. »

Sanda Voïca

Plus gravement, elle écrit qu’elle ne peut plus rêver « parce que [elle n’est] plus connectée ». Elle parle de la « grâce douloureuse de chaque instant », de « cet écartèlement qui n’arrêtera jamais », de la couleur rouge, celle du feu, du sang, qui brûle en elle comme il a brûlé dans le ventre de sa fille.

« Jusqu’où une âme peut perdre ?
La mienne pourra-t-elle gagner parfois ? »

Le plus difficile à vivre, observe-t-elle, est l’absence de certitude sur le fait de savoir si l’âme de son enfant est là ou non, et de quelle âme s’agit-il ? Malgré la douleur, la lucidité demeure, l’inépuisable questionnement sur l’existence de l’âme.

Son rapport au réel est rompu ou, du moins, métamorphosé.  

 « Ma petite fille qui es aux cieux

Ou ailleurs

Ou plus du tout

Donne-moi la force de te dire

Ce que je ne te dirai jamais.

[…]

Et de me laisser avec mon seul grand moment

Qu’est devenue ma vie sans toi.*

Ella fait aussi ce constat, terrible, mais qui ne peut avoir lieu qu’une fois lorsqu’une vie est achevée ou, plus précisément, interrompue par la maladie.

 «  Te voilà enfin d’un bloc –

De la naissance jusqu’à la fin :

Tout faite, entièrement faite,

Il n’y a plus rien à rajouter, »

On le devine à ces quelques extraits : on ne sort pas indemne de la lecture des textes de Sanda Voïca.

Des couleurs en profondeur, Ecrits dans l’air, Vibre le vent, Raison sans raison, aux titres explicites, poursuivent, sous d’autres formes et en des poèmes plus courts, moins autocentrés de prime abord, cette poétique de la présence/absence au monde où le dehors et le dedans, le ciel et la terre, les os et la chair, la neige et le feu, signifié et signifiant, les mots et la mort sont sinon remis en cause mis en liaison via les nuages, les nerfs, tout ce qui distingue l’écriture-miroir ultrasensible de Sanda Voïca.

Le ciel, mon miroir,

Les mots, mon ciel.

L’écritoire – ma terre.


Sanda Voïca, Les nuages caressent la terre, Les paral­lèles croi­sées — Les Lieux-Dits, Stras­bourg, 2022, 96 p., 18 €.

Avec le texte de 4ème de couverture de Germain Roesz et les créations de : Véronique Sablery, Philippe Boutibonnes, Liviu Şoptelea, Danièle Massu-Marie, Sylvie Durbec, Clara Pop-Dudouit, Ghislaine Lejard, Maurice Marie, Jean-Pierre Stevens, Caroline François-Rubino, Samuel Dudouit, Sanda Voïca.


Les Lieux-Dits sur Facebook

*Un texte du présent recueil à lire sur Terres de femmes

La chaîne Youtube de Sanda VOÏCA

P.2022.11.22. Claude Vercey revient sur poésie de Sanda Voïca (et de Marie Alloy) - dans une note de lecture sur deux autres poètes

 Claude Vercey, 

dans l'I.D. 1019, publié le 21 novembre 2022, 

 https://www.dechargelarevue.com/I-D-no-1019-Eternite-de-l-ephemere.html

dans une phrase faisant référence à mon livre 

(Les nuages caressent la terre)

 et celui de Marie Alloy 

(qu'il avait déjà chroniqués ensemble)

 https://www.dechargelarevue.com/I-D-no-998-Des-voix-endeuillees.html

 renforce une de ses pensées :

 [...] Il est commun d’observer que le spectacle, et même la pensée, de la mort sont devenues inadmissibles et combien on s’efforce au quotidien de passer cette réalité sous silence. En revanche, et par contrecoup, la poésie, l’art en général, se nourrissent des refoulements collectifs, et cette même réalité est devenue majeure dans les recueils de poésie actuels, constat auquel j’ai déjà été conduit à propos des derniers livres de Sanda Voïca et de Marie Alloy (I.D n° 998).[...]

 




Mise dans une "case" - comme dans une autre !

 

 

 


mardi 15 novembre 2022

P.2022.11.15.Sanda Voïca - des poèmes de "Les nuages caressent la terre" (Les lieux-dits éd., 2022) choisis par Florence trocmé et publiés dans l'Anthologie permanente de Poezibao le 2 septembre 2022

 

Je découvre aujourd'hui seulement 

que quelques poèmes de mon livre, 

Les nuages caressent la terre,

avaient été choisis et publiés 

dans l'Anthologie permanente 

de Poezibao 

par Florence Trocmé 

dès le 2 septembre 2022 !

 

https://poezibao.typepad.com/poezibao/2022/09/anthologie-permanente-sanda-vo%C3%AFca-les-nuages-caressent-la-terre.html

 

Très touchée, évidemment, 

car il n'y a pas toujours des extraits des livres reçus !

Et quand c'est "fait" 

(des poèmes lus ou... le livre en entier !) 

par Florence Trocmé même !









Pourquoi le retard de ma découverte ?

Parce que je n'ouvre plus tous mes e-mails !

Celui-ci - envoyé le 3 septembre 2022 

(et que j'ai même failli jeter sans le lire)

ouvert à peine ce soir ! 



vendredi 11 novembre 2022

P.2022.11.11. Sanda Voïca - actrice... pour quelques secondes (dans sa jeunesse !)

 Par quel cheminement

 (tortueux, voire... tordu : moi, moi, moi ! Me raconter, encore et toujours : moi,  moi, moi !) 

et curiosité renouvelée,

j'ai voulu revoir le court film de licence, de 1988 -

 - Arts du théâtre et de la cinématographie - de Francisc Ferko Mraz :

"Pe deal în sus" [En haut, sur la colline]

 de 7 minutes, à peine - et censuré, de surcroît (ce qui explique le manque du son !)

où j'ai joué... pendant quelques secondes 

de la minute 4' 52" à la 4' 58 !  

Et il n'y a (plus) que moi et le réalisateur

qui savons que presque-l'ombre 

[numérisation tardive 

d'un film sur pellicule - légèrement détérioré ]

qui entre et passe vite dans la salle de bibliothèque

[ la Bibliothèque Centrale Universitaire/ la BCU, celle devant le Musée National d'Art, où j'ai passé de si nombreuses, longues heures pendant mes études à la Fac !]

c'est... MOI ! 

Dans un film très... complexe (à la... Ferko)

j'étais censée rendre (montrer que) le personnage principal

était... invisible (dans la scène de la Bibliothèque, du moins)

quand/car moi - j'étais... bien (exagérément !) visible : tous les lecteurs de la salle de lecture tournent la tête quand j'y entre,

pendant qu'ils n'avaient pas réagi, juste avant, à l'entrée de l'homme/l'acteur (important) Serban Ionescu.

Les autres protagonistes du film paraissent sur le générique final sous le nom...

"Si altii" / et d'autres 

après les seuls noms dudit acteur (mort en 2012) et de l'enfant.  

 








Le film en entier ici :

 https://youtu.be/ayGiu9nEbwE


 

 

Et toute la filmographie (bien étoffée entre temps) 

de Francisc Ferko Mraz :

 https://www.franciscmraz.ro/filme.php?lng=ro

 

Nota Bene : 

Comme dans tout (vrai) film, il y a eu plusieurs (trois) prises !

 

mercredi 9 novembre 2022

P.2022.11.09. Sanda Voïca (poète) - Germain Roesz et Adeline Contreras (artistes) : 2 livres pauvres exposés à Toulouse, entre 8 mars-22 juin 2022 à la Bibliothèque d'Etude et du Patrimoine

 Cette publication,

parce que je viens de découvrir (avec joie et étonnement)

 le site numérique complet

 (dont je connaissais l'existence, mais avant qu'il soit fini !)

d'une exposition de livres pauvres, 

avec le thème "L'eau et les rêves",

à Toulouse, entre 8 mars-22 juin 2022 

à la Bibliothèque d'Étude et du Patrimoine

et à la Médiathèque Grand M :


 

 Lien vers le site numérique :

https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/

 

 

Et quelle surprise de voir qu'une de tes images,

 glanée sur ton Blog, par Murièle Modély, 

responsable du projet (exposition et numérisation),

après t'avoir demandé la permission de l'utiliser sur le site,

et lui avoir dit "oui" parce que tu penser qu'elle illustrerait mieux un des livres pauvres exposés,

la voilà... ouvrir la première section du site numérique de l'exposition !

Nota bene : tous les livres pauvres sont maintenant (en) la possession de la Bibliothèque

(par quel artifice ou contorsion de la règle - quand ce sont des exemplaires censés circuler pour d'autres expositions aussi !)

 et, inventoriés, consultables comme un livre... normal.


 


L'article de Murièle Modély :

https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/chapitre/les-livres-pauvres-des-livres-dartiste-dun-genre-nouveau/



Murièle Modély - à droite.

Mon livre pauvre avec Germain Roesz - à gauche, au coin (en bas de l'image)


Tous les 40 livres présentés /numérisés - 

voir le lien vers le chapitre 2 :

https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/les-oeuvres-et-leurs-createurs/


Exposition où deux de mes livres pauvres 

ont été aussi exposés :

Sanda Voïca (poète) - Germain Roesz :

 "L'eau du repos"


Sanda Voïca (poète) - Adeline Contreras (artistes) : 

" Dans le fleuve-tissu vertical"

 

 

Plus en détail :

"L'eau du repos" - avec les dessins de Germain Roesz :

https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/oeuvre/leau-du-repos/




" Dans le fleuve-tissu vertical"

avec la création d'Adeline Contreras :

 https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/oeuvre/dans-le-fleuve-tissu-vertical/


 

Dans la section 2, toutes les créations sont commentées brièvement par  Daniel Leuwers  :

https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/chapitre/leau-et-les-reves-les-mots-et-la-peinture-sans-treve/


 et :

 

Le livret de l'exposition :

https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/wp-content/uploads/sites/6/2022/05/livret-livres-pauvres.pdf 


 Dans une autre section, celle de Julien Michel,

Le livre pauvre en mouvement(s)

lien ici :

https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/ressources-medias/le-livre-pauvre-en-mouvements-par-julien-michel/ 

mon livre avec Adeline Contreras y est mentionné dès le début :


 


Compte-rendu aussi

en photos (officielles),

via la Galerie :

 https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/ressources-medias/galerie-photos/

 



 

en 2 vidéos : 

tous les livres pauvres photographiés en détail, 

présentés dans l'ordre alphabétique :

les miens : dans la vidéo 1 

- sur la section 2 

de Daniel Leuwers :

 https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/chapitre/leau-et-les-reves-les-mots-et-la-peinture-sans-treve/

 mes captures d'écran :

 





 

Et une vidéo générale, via :

 https://expo.rosalis.bibliotheque.toulouse.fr/l-eau-et-les-reves/ressources-medias/galerie-photos/

 

captures de la vidéo avec la vitrine où se trouvaient mes 2 livres pauvres :













 

et la borne numérique !