mon poème :
L’ARDEUR DE L’ÂGE DU JOUR
Deux oiseaux vus d’en haut
Volent au ras d’une pelouse :
Leur nouveau ciel est vert.
Vertige du jour :
l’amour m’a récurée complètement –
coque pensante
je me cache ici
dans la retraite des mots.
Passez mon seuil sans porte.