Pour une iconographie sans fin et un constructivisme situationniste
( images et ses propres textes) ici :
Un échantillon :
Piéton infini (Pablo Durán) :
dimanche 21 juillet 2013
Sidération
Oui
c'est vraiment comme ça : la plénitude tire dans les angles, accroche
la mémoire, joue avec les chats, allume le feu, rend amoureux, ramène le
corps des bals d'été que peut-être on n'a jamais vécus mais seulement
rêvés, apprivoise la nuit, décroche les emblèmes, pose une étiquette à
une valise avec le nom de quelqu'un d'autre, ose se dire que oui,
s'abandonne, respire sans un souvenir, finit par une sorte d'élévation
légère, de redoublement posé dans une éternité singulière — et c'est à
peine une empreinte, et moins encore une image.